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Betty wrote:Ce sont toujours des moments bien tristes, Artémis. Mais vous lui avez donné une jolie vie. C”est le plus important.
C””est toujours avec une grande tristesse que nous voyons partir nos petits compagnons.
Un jour mon fils (jeune encore à l”époque) a voulu acheter un labrador mais, comme il travaillait, c”est moi qui m”occupais du toutou ; il ne me quittait pas mais retrouvait avec bonheur son petit maître chaque soir.
Cependant, nous avons du nous en séparer à 10 mois….. il avait un problème cardiaque grave.
Vous imaginez combien notre peine fut grande …. 10 mois …. c”est jeune …. et il était tellement gentil : je me souviens qu”à l”époque la vétérinaire nous avait dit que nous “lui avions donné une belle vie” …. oui c”est vrai … mais bon ! j”ai mis une année à m”en remettre … quant à mon fils, lui, n”en a plus jamais voulu parler avec moi et a gardé sa peine tout au fond de lui !
Janvier ou février quelle importance ? L”essentiel est que le coeur y soit, merci pour la carte Bémol, très, très jolie.
A mon tour, je vous souhaite une bonne année, bien meilleure que les précédentes et cela vaut pour vos bébés d”amour poilus ou plumeux également.
Merci Bémol ; malheureusement, cela fait un an que Mimi, ma lapinette d”amour, nous a quitté.
Cela a été très dur, elle est morte sous mes yeux, je lui parlé et l”ai caressé jusqu”à son dernier souffle. Ses derniers moments étaient interminables, pauvre, pauvre Mimi
J”avais remarqué qu”elle s”était installée dans un des arbres à chats, mais n”y ai pas porté plus attention, car elle y restait souvent. Le lendemain matin, elle y était toujours elle n”avait pas mangé ; je lui avais dit alors que si elle n”avait pas mangé à mon retour de midi, nous irions chez le véto. Arrivée à la maison, elle était sorti de l”arbre à chats et était sur le tapis dans l”entrée, je l”ai trouvé toute molle, je l”ai installé dans ma chambre avant d”aller chez le vétérinaire. Attirée par un bruit vers ma chambre, je croyais qu”elle grattait à la porte pour sortir et la pensais mieux, je l”ai trouvé retournée dans son panier, battant des pattes arrières. Je l”ai mise sur le côté, elle a continué ainsi, jusqu”à un minuscule cri, puis elle a poussé son dernier souffle.
Elle m”avait attendu pour mourir.
Je ne peux évoquer son départ sans pleurer, je m”en veux car si j”avais réagi plus tôt, on aurait peut-être pu l”endormir chez mon véto, là elle a souffert.
Au moindre doute, foncez chez votre véto et aidez votre animal à partir car aucune mort n”est douce. Ce sera le plus grand et plus bel acte d”amour que vous ferez pour lui.
