Après enquête par le rapporteur (vétérinaire désigné par le président du conseil de l’ordre), le président a saisi la chambre régionale de discipline en Juin 2009. Les deux vétérinaires ont été sanctionnés: l’un a eu un avertissement, l’autre une réprimande. Ni eux ni moi n’avons fait appel de cette décision qui est devenue définitive.
J’étudie actuellement la possibilité de porter plainte en civil contre ces deux vétérinaires afin d’obtenir un dédommagement (car c’est sans doute le seul moyen de les faire réfléchir)
Il me semble utile de préciser que ces deux énergumènes ne se sont jamais remis en cause, rejetant sans cesse la faute sur leur confrère, et surtout ont porté atteinte à ma personne en tentant de me discréditer en me salissant. Leurs propos les plus affligeants:
– c’est un artiste qui vit avec des horaires décalés
– il a des rapports trop fusionnels avec ses chats
– il faut savoir que lorsqu’on appelle sans cesse pour rien, on finit par ne plus être crédible (je précise que je n’ai jamais appelé pour rien, et que c’est bien parce qu’ils n’ont pas entendu que mon chat est mort)
J’ai été soulagé par cette sanction de la chambre de discipline, car je n’avais pas pris d’avocat, et je craignais de ne pas être entendu …
Eux étaient trop sûrs de gagner (un seul des deux a estimé nécessaire de se déplacer)
Ceci dit, il me faut signaler une chose terrible. L’autre jour, je regardais une émission sur les parties civiles dont la famille a été victime de meurtre aux USA. La plupart attendent la mise à mort du condamné comme un soulagement, et vont assiter à l’éxécution, en repartent satisfaits et c’est alors qu’ils réalisent qu’ils doivent faire leur deuil, que la condamnation et l’exécution du jugement n’a strictemement rien changé au problème.
C’est ce que je ressens aujourd’hui