Pour vous expliquer, Socrate a eu un traumatisme dans ses premières années qui l’ont rendu hyper anxieux et craintif. Je l’ai surprotégé en ne l’exposant pas aux dangers extérieurs, et c’est la rencontre fortuite avec un de ses congénères dans notre immeuble plusieurs années après qui a me semble-t-il déclenché sa réaction de léchage compulsif (j’appelle ainsi sa façon de se lécher toujours aux mêmes endroits). Ça fait 6 ans que ça dure, avec des hauts et des bas. Ces derniers temps, ça semblait aller mieux au niveau du léchage, les poils repoussaient même pas mal mais il s’est mis à se gratter et ses moustaches sont tombées et repoussent très difficilement… A chaque véto rencontré, sa solution : diffusion de phéromones, traitement à la cortisone, cachets type anti dépresseur, etc…. et cette année la vétérinaire me parle d’allergie alimentaire! mais ses croquettes n’ont rien arrangé, au contraire. (C’est ce qui m’a conduit jusqu’ici.)
Parfois je ne sais plus que penser, mais à force d’y réfléchir, j’en reste à ma première idée d’un problème psychologique plus que physiologique. Socrate ne se gratte pas ni ne se lèche si je suis avec lui, sur le canapé. Dès que je fais autre chose (quand je me mets sur l’ordi par exemple, typique! -> il est en train de se lécher en ce moment même…), il s’y met frénétiquement.
Le changement d’alimentation génère chez lui un stress supplémentaire, ce qui provoque une augmentation de son grattage et de son léchage. Mais toujours avec des hauts et des bas également, des moments où il se lèche beaucoup, d’autres beaucoup moins.
Sachant que le poulet pourrait être un allergène, j’essaie de l’éviter, mais ce n’est pas probant.
En tout cas, depuis septembre, il ne mange plus rien qui soit à base de céréales mais ça continue quand même.
Je regarderai demain le lien que tu mets Candy, je dois aller me coucher maintenant… Merci à toi de t’être penchée sur ma question! :bouquet:
Hortenselle je ne pensais pas qu’un traitement homéo pouvait guérir ce type de pathologie. Dans mon ignorance, ou ma croyance, je pensais que ça ne ferait qu’estomper le mal, ou le tranquilliser…. Alors je vais revoir ma position. 🙂
Néanmoins, je continue de penser qu’un comportementaliste pourrait m’aider, d’abord à comprendre le fonctionnement de mon chat, et ensuite à m’expliquer ce que doit être mon propre comportement vis à vis de lui dans cette situation. Car je sais que je réagis de manière inappropriée. Finalement, je crois que l’un n’ira pas sans l’autre!
Hortenselle, sais tu alors quelle est l’origine du problème d’Elianthe?!